UNE Histoire D'amour

une journée ordinaire...presque

j'avais envie de me balader ce jour
chérie aussi
elle l'envie de fleurs des prés, de coquelicots
de sentir la rosée, l’herbe mouillé...
malgré le mauvais temps annoncé nous primes la voiture
et avons roulé jusqu'à n'en plus finir
pour terminer à l'entrée d'un vaste champs
qui n’avait de champs que le nom
vue les fleurs et les mauvaises herbes qui envahissaient l'endroit
et nous avons passé l’après midi ici, en ce lieu
à discuter, à s'embrasser à se caressser
à s'aimer quoi....
une journée ordinaire sur la terre
un morceau de paix
deux êtres qui s'aiment
toi moi et le monde nous appartient
pour un morceau de vie ,une journée ordinaire

ENTRE ...

C'est l'entre jour
je vois ton ombre traverser la pièce
ton corps se dessiner sur le parquet
c'est l'entre jour
ne venons de faire l’amour
levée déjà
fumer une première cigarette
et moi je te regarde comme toujours
allongé sur notre lit
les draps encore froissé de notre nuit
le jour deja c'est levé
les rideaux à peine ouverts
tu tourne en rond
tu pense à quoi mon amour
à notre nuit d'amour
ha cette facon que tu as de me dire les choses
ton ombre viens vers moi
approche approche
à pas de chat
que dis je de chatte....
fermez les volets...je t'aime

à deux....

C'est l'heure de la douche
une chaussure, puis deux
un chemisier, un corsage
déboutonner,exciter, caresser
un pied à l’intérieur
puis deux, puis quatre
je te rejoins...est ce bien raisonnable
je profite de ce corps mis à nue
de ces seins qui se dresse
tes mains qui se perde sur le mien
et glissent lentement ,doucement,goulument...
mousse envahie la douche
soupir de désirs
et biser sur ta bouche
nos mains qui se touche
et s'affolent, à en perdre la tête
à deux....c'est mieux
jeu de mains...je te tiens
laisse toi aller
puis deux, puis quatre

c'est pâques...alors laissez libre cours à votre imagination, un peu de folie érotique pour ce soir mon amour et moi..hum je m'en leche les doigts....

taille-moi les hanches à la hache
J’ai trop mangé de chocolat
Croque moi la peau, s’il-te-plaît
Croque moi les os, s’il le faut

ho jouissance éternelle...

les chaussures plates toujours aux pieds

tu te dénude devant moi
je reste la les yeux émerveillés